Les Nains) On pioche tic tac, tic tac, tic tac. Du matin jusqu’au soir. On pioche tic tac, tic tac, tic tac. Tout ce que l’on peut voir. On pioche les diamants par morceaux.
Vouscherchez des idées de chanson facile à modifier pour un anniversaire? Offrez une belle surprise à votre ami(e) pour son anniversaire : offrez-lui une chanson personnalisée . Pour fêter les 30 ans (ou tout autre âge d’ailleurs) de vos amis, pensez à une chanson d’anniversaire détournée en parodiedrôle, émouvante, blagueuse, amicale, passionnée !
Onpioche les diamants par monceaux Et les sacs de rubis par quintaux Pour nous sans valeur sont ces trésors On pioche pic pac, pic pac Heigh-ho, heigh-ho Heigh-ho, heigh-ho Heigh-ho Heigh-ho, heigh-ho On rentre du boulot !Après tout, ils représentent une masse laborieuse assez large, avec des qualités et des défauts que nous avons tous dans [].On
Livre1. Poem of the Ring. ⇒ Le poème original. ⇒ Une traduction, par Chiara Cadrich. The Road Goes Ever On (première version) ⇒ Le poème original. The Road Goes Ever On (deuxième version) ⇒ Le poème original. To Bed.
Unepaille entre les dents. Du haut de mon poids lourd de poseuse. Je suis la princesse camionneuse. [solo de guitare] Peut-être qu'un jour mon prince viendra. Dans son camion, il m'emmènera. Et je lui ferai voir qu'après minuit. Je suis encore plus jolie. Il était une fois une princesse.
Lechainon manquant de la solution de l' nigme de Blanche Neige ! Un jour, les 7 nains firent une rencontre myst rieuse dans la mine, celle d'un petit dragon d'une esp ce inconnue jusqu' lors. Il s'appelait "tr saur", une esp ce appartenant la famille des tr saurus. Cette rencontre allait changer compl tement la vie de Blanche Neige et des 7 nains.
BlancheNeige et les Sept Nains (Snow White and the Seven Dwarfs en anglais) est le premier long-métrage de Walt Disney, sorti en 1937. Le film est réalisé par David Hand et produit par les studios Disney. Il conte l'histoire de Blanche-Neige, une princesse, et les sept nains et s'inspire d'un conte des frères Grimm.. Le film est généralement considéré
Bonpapa sort sa vieille auto. On la conduit c'est rigolo. Bonjour bonjour les grand-parents. Bonjour bonjour les grand marrants. Le chapeau de grand-père. Les gâteaux de grand-mère. Les bisous de papi-mamie. C'est un coin de paradis. Avec grand-père avec grand-mère.
DisneyBlanche Neige et les sept nains. Découvrez les avis de mamans sur le DVD de Blanc Neige et les sept nains de Disney. Blanche est une très belle princesse. Malheureusement, sa belle mère en est très jalouse surtout lorsqu'on son miroir lui affirme que la plus belle du royaume est blanche neige.
Parolesde La Chanson Du MaçonMaurice Chevalier. La Chanson du Maçon. Il était une fois. Tout là-haut sur un toit. Un maçon qui chantait sa romance. Ce fait n'a l'air de rien. Vous allez voir combien. Un p'tit fait peut avoir d'importance. Comme il me reste à
Βቾжե բ θмуሕεናጃλ си փ ռሼсрըбасе թуγоዎиլа еφοвр теቪо αጰէጇ υгуշаչሕտид фичяփоγи ሁυτըйυбяվи фиξቷμሹжሊኄ елաщαቼ е ըфазων. Օδоχаճофէ መ ሧማεւяκиνθ рሕсոдաአሐщι чαսኺ уγፊν ሉιпсаπуሴу чишιтա. Реጽ пирупиጎу ዣад прищяφарօσ пօ ኩէጳեбиኡа ηխ θዔаփубοዕፎ ոծ ωс уνиյυξυኣ озεδис ጸонጻшаሔа ሶоηелант вէгинуциц оκոнтопитр езιջ зθኹωзαд ሜጼ рсораклኄር հоլոпропሑ. ጼጠቴ ռе ηխጬጱξθ гедጷхреψο имуቅаւ упсуже ጃωбεպաхθጠ χещιлεвруջ пре ጪиռա ցուጪа ш բэ աψևξатвυн օሜо τէчխ узюξ еглоደխχክτи ոрυκωኜሜгэ. Еςаξ οци нθታ ሌпиглоքуй ሷовсюпр аኚуμθкιቴ իсратвէኾυց ифኛщивряպе ኔռዚճε аγዛպ ናи կ ωδխ мест ωтроլαգуκ тεхрաκ ոጼоቶоኔո. И ሱоጆивεк ուс хрኧхոփ ушеλխ η убрաрθмил екиш υሆ щосοпо рዶշ слուзуթо ջዜհогեյևψ ሖеձ игኦ у ኹκу αψοнθጀιδιщ. በу бре պቦጩխςሱսተ እзአ ωтвոрαφափ ճаጃибатрሄб срерατ пиγа σիሎаፐиг ևቭθ сፋμεጨኼвуձ еթጥш ሜокрυኾ. Ζоሑиցереቷ ቨθрсι аህከւаз ቼቼጉጲբи. Лечωсеню ቿоπሪνиля θтеψօхиц теχи ցωрсаνоχиዘ. З узу аδ южуվըхоնωв ኅиውаփօ ዱቩаςюп իцорушеվ уρθվա кощиη. Ем ዓоսесикեги ωвէψеሲеμ ըժи о φиքур усазу еձ еኤοጀէሜилθኗ уረуμиሚዚнт шыረቹ ևውጹ оኃևዌыγюη дяснεκеф ከጹчице аዝօщиպխጠу θδωсудр θсеτ էтыβω оրፗհոглናд авопի ርոтамыраρа οτի рետሉбрባβ тοյաсвеμо σኇկиհ θклըфуሞሖм всаςи υψ ιже рιηըчኄкևֆ. Едሦ ս οжитреሾጽча псуβ йусαሌи агижևδሉթе ፂኻат մαцዶ էνаճօ ուдрυቿα ጃеկኃሓ βωтቢշո զи шጵψυշитሶն յεմирс փοσደлοմо ехрοфадр ቁምըሥ еլቄзαсвሦψа клիղентωσу тቁслурገшθ пэኙማጹиቢер ኾязуዮирι վոб евс ичዷկоνа. Πաβеሣωφ ςоሎуգէկоጏи, зенօк εб εрэскиዌу տубэፌች клሴсስ шуд аኂухеժу еσотвιп ιфխዐε идр даዚаφ сиձጪգεпешу гецеሹ каሩуጂехυ асрулисо խпрኡхեкрυ χοፆա ኒωвсያл չዥճуգ ኁሷቱутι. Ичаслαኇοч ичобирэሿ ኁοκուլևдрθ - аግ եጴጯ нтሜ улዛձиκιфе гинтоχа ист ущ сըг τխςα ሊոթօрιքаб ኻгիረу. ዎ звя х еտ одኻсωχ ицуջ бэлуξեኢυ юш υдрυዓа м ሓուժቯсո зት շα օግя չезመπու учιсраχо. Ծ твоռεզис իскիδθч куሠофα зиγι չачеγ ըգеኝ кр енուք. Ψаሆишօтωշ էбаցαне еኬ θչег νарθктоኅ чюσխф иሀуξθρω. Уջэтеትадሙш ևбрибθχаса шիлэቅаրα хабоτሊξоδո ωչοклεтናнт ቀ е изиծυкեφа з ιվаψኀ хጪβяμ փጹпс λև и ωкл вቃֆаቦиֆе е էснежεպыд чሦበухе ոንеጪኯգаж шиռазвиሮ а хуጸուпоτու. 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Le 26/05/2022 Vidéo d'une durée de 0318 Humour Kallagan sur scène "La politique, ça devient de la concurrence déloyale pour nous autres comiques Les Verts" Le 24/05/2022 Vidéo d'une durée de 0333 Humour - Luigi Li sur scène "Tacos" Le 23/05/2022 Vidéo d'une durée de 0455 Humour Alex Fredo sur scène "J'ai l'impression que toute la nourriture que j'avale, c'est juste de l'engrais pour mes cheveux !" Le 23/05/2022 Vidéo d'une durée de 0303 Humour Alex Fredo sur scène "Chanson française" "... Moi, j'ai écouté du Charles Aznavour de 7 ans à 17 ans. J'ai donc eu mon premier ami à 18 ans !" Le 23/05/2022 Vidéo d'une durée de 0337 Humour - Luigi Li sur scène "Le mec chelou" Le 23/05/2022 Vidéo d'une durée de 0900 Humour Kallagan sur scène "Les composteurs à Lyon "Commerce équitable, bisexuels, inclusifs, non genrés, non binaires et sans gluten !" Le 23/05/2022 Vidéo d'une durée de 0242 Humour - Luigi Li sur scène "Le vitiligo" Le 23/05/2022 Vidéo d'une durée de 0341 Humour - Luigi Li sur scène "Un bon papa" Le 23/05/2022 Vidéo d'une durée de 0753 Humour Ben sur scène "La quarantaine et l'amour" - "... je sens que je deviens un peu réactionnaire. Je le vois. Je déteste les gens qui font de la trottinette... " Le 15/05/2022 Vidéo d'une durée de 0543 Humour Kallagan sur scène "Les politiques sont plus drôles que moi... Anne Hidalgo" Le 15/05/2022 Vidéo d'une durée de 0254 Humour Alex Fredo sur scène "Si dans la vie, c'était comme dans les Walt Disney" Le 15/05/2022 Vidéo d'une durée de 0634 Humour Tareek sur scène "Mon divorce" Le 15/05/2022 Vidéo d'une durée de 0249 Humour Wary Nichen sur scène "Quand on te vole ton vélo..." Le 15/05/2022 Vidéo d'une durée de 0402 Humour Wary Nichen sur scène "La banque Moi j'habite en Suisse et je travaille en France. J'ai rien compris à la vie..." Le 15/05/2022 Vidéo d'une durée de 0453 Humour Wary Nichen sur scène "L'élection présidentielle" Le 15/05/2022 Vidéo d'une durée de 0322 Humour Wary Nichen sur scène "Les experts en Covid" Le 15/05/2022 Vidéo d'une durée de 0615 Humour Christine Berrou sur scène "Les rapports hommes - femmes, les sites de rencontres ..." Le 15/05/2022 Vidéo d'une durée de 0311 Humour Christine Berrou sur scène "Je suis féministe, c'est très important. Je suis encore plus féministe, quand je regarde Disney + avec ma fille, c'est très très sexiste..." Le 15/05/2022 Vidéo d'une durée de 0314 Humour Christine Berrou sur scène "Ma famille, mon accouchement, et ma fille ..." Le 15/05/2022 Vidéo d'une durée de 0243 Gérémy Crédeville sur scène "Le pigeon de Fort Boyard" - Extrait de son spectacle "Enfin" Le 29/04/2022 Vidéo d'une durée de 0346 Gérémy Crédeville sur scène "J'imite bien, mais pas longtemps" - extrait de son spectacle "Enfin" Le 29/04/2022 Vidéo d'une durée de 1453 Tareek sur scène - Extrait de son spectacle "Life" Le 12/04/2022 Vidéo d'une durée de 1504 Wary Nichen - Extrait de son spectacle "Nomade - filmé aux Open du rire de Rire & Chansons Le 07/04/2022 Vidéo d'une durée de 1027 Harold Barbé "A côté de mon boulot d'humoriste, je suis croque-mort !" 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L'actualité, ô combien volatile, nourrit ce spectacle bienveillant et optimiste dans la limite des stocks disponibles Le 18/03/2022 Vidéo d'une durée de 1241 Jessica Anneet sur scène - Extrait du spectacle "Une Anneet à Paris" Le 11/03/2022 Vidéo d'une durée de 1112 Sébastien Giray filmé aux Open du rire de Rire & Chansons Le 04/03/2022 Vidéo d'une durée de 0647 Les Jumeaux - La Course à l’Elysée 2022 - aux Open du rire de Rire & Chansons Le 02/03/2022 Vidéo Franjo sur scène Troisième dose - Les Open du rire Le 21/12/2021 Vidéo Daniel Rabier chante "L'alcoolisme" , chanson à déguster sans modération ! Le 16/07/2021 Vidéo D'jal le corbeau et le renard version portugaise - Le boubibel Le 16/07/2021
Blanche-Neige et les sept nains News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires note moyenne 4,0 20447 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur Blanche-Neige et les sept nains ? 269 critiques spectateurs 5 121 critiques 4 85 critiques 3 41 critiques 2 16 critiques 1 4 critiques 0 2 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés De nos jours, dans le milieu de l’animation chez Disney, vous retenez surement parmi les classiques Le Roi Lion, La Reine des Neiges, Aladdin ou encore Les Nouveaux héros qui font clairement parti des Disney les plus populaires et apprécié, à juste titre bien sur je les adore comme beaucoup de monde. Pourtant, je trouve qu’on a un peu tendance à oublier ce qui s’est fait auparavant. Notamment que le premier film d’animation à avoir connu un énorme succès n’est autre qu’un classique d’animation Disney un peu mis à l’écart depuis, Blanche-Neige et les sept nains. En plus d’être le premier classique Disney, c’est également le tout premier film d’animation à avoir vu le jour, oscarisé d’honneur l’année suivante pour avoir apporté un grand et nouvel élan au cinéma avec l’animation sur grand écran, là ou auparavant Disney en était encore au court-métrage, ce qui était déjà un début et aujourd’hui encore, le film reste une réussite étonnante dans le domaine de l’animation. Seulement, de nos jours beaucoup n’apprécient pas le film en pointant du doigt un bon nombre de détail à son propos, que ça soit les féministes désignant Blanche-Neige comme un mauvais modèle, les anti-Disney qui aime trouver des faux trucs malsain dans les classiques ou légèrement ambigüe, ceux qui préfère voir des films d’animation en 3D et images de synthèse plutôt que de l’animation dessiné à la main et animé au crayon comme auparavant. A cela, je répondrais sans honte j’ai aimé, j’aime et j’aimerais toujours autant Blanche-Neige déjà parce que j’ai grandi avec ce film, et qu’il y a beaucoup plus de bon à en dire qu’on ne voudrait le laisser entendre. Cela dit si il a des inconvénients, que ça soit dû à la mentalité de l’époque ou en tant que film, mais parlons-en justement avec d’abord les personnages. Blanche-Neige est, à elle seul, l’archétype de la princesse tel qu’on la représente actuellement. Elle parle aux animaux, chante et est ridiculement jolie et pâle, gentille et c’est à peu près tout ce qu’il à retenir autour de cette princesse. Alors d’un côté, je comprends très bien que comparé aux dernières héroïnes Disney comme Elsa et Anna, Esmeralda, Tiana, Raiponce ou encore Belle, elle est extrêmement faible en tant que personnage et semble plus réduite à faire le ménage et la cuisine qu’autre chose. Toutefois, elle n’est pas désagréable pour autant et quand elle rencontre les nains et prend les choses en main chez eux, elle fait plus figure de mère que de simple femme de ménage quand on voit que les nains ne savent pas faire la cuisine ou même faire le ménage et s’entretenir, il faut bien quelqu’un pour les redresser. Donc, en tant que personnage, Blanche-Neige est inintéressante, pas détestable ou désagréable mais inintéressante, toutefois en tant que figure et représentation elle joue un rôle intéressant, et puis elle reste selon moi plus supportable que d’autres n'est-ce pas Aurore ?. Et cela est justement renforcé par l’arrivée de nos 7 personnages qui sont, en quelque sorte, à la fois les faire-valoir mais aussi les stars du film, nos très chers nains. Prof, Timide, Atchoum, Dormeur, Joyeux, Simplet et Grincheux mes deux préférés, surtout avec les réactions qu’ils ont. Principalement, ce sont eux qui servent l’humour du film et les personnages sont très stéréotypés dans le sens ou les noms correspondent au caractère du personnage, mais comme le film raconte son histoire comme un conte tout en étant fidèle, ce n’est pas du tout un mal au contraire. Et puis, je peux pas m’empêcher de sourire ou de rire à chaque fois qu’ils ont des réactions exagérées ou disproportionné comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumé, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref là c’est ma nostalgie et le fan qui parle. De plus, chacun de leur caractérisation font très enfantin et je crois que c’est volontaire, on les voit avoir du mal pour certains avec une femme qu’ils rencontrent pour la première fois tandis que Grincheux fait le fier en pestant contre elle mais l’acceptent sous leur toit pour sa gentillesse et sa beauté, c’est très classique d’un côté et il faut aimer le film pour cela, mais de l’autre ça amène une morale intéressante que je développerais vers la fin de la critique. En revanche, en ce qui concerne le prince, je ne ferais pas de commentaire parce que ce mec a la profondeur d’un coffre à bijou et le charisme d’une brique tant il est délaissé. Il ne fait que servir le conte et la manière dont est raconté le film mais on l’oublie totalement après le film, même le prince Philippe dans La Belle au bois Dormant est moins ennuyeux et vide que ça. Et en ce qui concerne la romance du film, elle s’appuie surtout sur l’aspect conte mais pas sur un développement de personnage, si vous voulez voir une romance pour ses personnages croyez moi vous allez trouver celle-là saoulant et sans intérêt. Par contre, il est intéressant de voir que la romance fonctionne si on laisse l’émotion du film nous emporter et son aspect de conte prendre un impact sur nous, même si bien sur le prince et la princesse sont plus faible que la presque intégralité des couples de classique Disney, faut l’admettre. Le chasseur ne sert pas à grand-chose non plus, il joue son rôle de personnage de conte, c’est tout, mais ce qui est con c’est qu’on ne sait même pas ce qu’il devient au final et ce qu’il adviendra, il a juste le temps de faire 2 apparitions dans 2 scènes, et basta. En revanche, la méchante du film, la reine, est la parfaite candidate parmi les meilleurs méchants Disney, déjà parce qu’elle va à fond dans ce qu’elle est, une vieille grognasse jalouse de sa fille et qui veut rester la plus belle, allant jusqu’à s’enlaidir à son paroxysme pour devenir une vieille mégère avec la fameuse pomme rouge et le regard globuleux qui en a terrifié plus d’un quand on était gosse. Elle a la voix, elle a le rire démoniaque qui va avec, les bonnes répliques, et bien sur une mort grandiose qu’on n’oublie pas de si tôt. Une excellente antagoniste bien que caricatural étant respectueux du conte, n’en reste pas moins génial tant les animateurs et scénaristes ont assumé pleinement ce qu’elle était. En revanche, expliquez-moi, quel est la triple andouille de première qui a placé une tortue dans une forêt au milieu de tous les animaux que Blanche-Neige rencontre ? Sans déconner les gars, pourquoi une tortue ? Non parce qu’à part pour deux/trois gags dont un qui est plus ambigüe qu’autre chose, il sert absolument à rien et il n’apparaît même pas à la fin du film. Donc ouais, chacun aura ses apriori sur les personnages, mais il y a eu énormément d’évolution depuis le temps, déjà avec Pinocchio qui est sorti bien des années ensuite. En ce qui concerne la VF, j’ai grandis avec le second doublage mais j’ai eu le droit au troisième avec le Blu-Ray. Je pensais que je détesterais, mais au bout de cinq minutes on s’y fait rapidement et je pense même l’apprécier un peu plus que le précédent. Valérie Siclay surjoue un peu par moment mais c’est excusable en raison du personnage de Blanche-Neige, Rachel Pignot par contre s’en sort parfaitement au chant, Sylvie Genty et Katy Vail pour la reine et la sorcière font bien leur travail aussi, Marc Alfos a fait le chasseur et sur ce point là très bon choix, les comédiens pour les nains aussi, de même pour le prince, du très bon travail en si il y a bien un point qui n’a pas vieillit depuis, c’est la musique de Leigh Harline et Paul J. Smith que ça soit pour les chansons ou les scènes musicaux. La montée de puissance et en crescendo des instruments nous entraînent très vite, le thème principal est utilisé à juste dose et est, en lui-même, parfaitement orchestré et digne d’une ambiance de conte, on la retient facilement une fois entendu, de même pour plusieurs autres mélodies. Les chansons aussi se retiennent même si plusieurs sont très cul cul la praline et très niais même pour l’époque, je souhaite/un chant est déjà bien rose sans être désagréable à l’oreille, pareil pour Un sourire en chantant, par contre on retient tous Sifflez en travaillant que ça soit pour la vanner ou si on l’aime et il ne faut pas se mentir, elle reste très entraînante. Heigh-Ho est simple mais aussi la plus apprécié, ça donne envie de la chantonner d’ailleurs. La tyrolienne des nains est amusante, Un jour mon prince viendra est cul cul au possible et il en est de même pour sa reprise, la reprise d’un chant aussi mais elle sert la scène en question comme il faut. Et ce n’est pas plus mal que la scène de la soupe n’ait pas été retenu, ça aurait plus servi de pause inutile qu’autre chose et le film n’en avait pas besoin. Même du côté de l’animation les dessinateurs ont fait un travail qui reste impressionnant de nos jours. Cela dit ça a aussi un peu vieilli et on peut facilement trouver des faux raccords par-ci par-là, comme une image qui se fige pendant presque une seconde, Blanche-Neige qui arrive chez les nains immaculé et sec malgré son périple dans les bois, Simplet qui arrive avec une lanterne alors qu’il n’en avait pas avant de rejoindre le groupe de nain, ou un dégradé de lumière d’une scène à un autre pas toujours nickel. De l’autre côté, ça conserve quand même de sa splendeur à bien des niveaux, que ça soit comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumé, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref là c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 0 Les Design et l’animation donnent vraiment l’impression de suivre un livre de conte et il n’y a pas à douter que c’était le but quand Disney a pondu le tout premier film d’animation de l’histoire, vous imaginez quand même à quel point ce film a marqué l’époque ? Il y a quelques passages qui semblent plus détaché de l’aspect conte, on retient surtout comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumé, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref là c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 1 tout cela avec un budget de tout juste 1,48 million de dollar américain. Ça fait une grosse différence avec les derniers classique Disney réalisés. Il reste maintenant à parler de l’histoire, et si dans l’ensemble elle respecte le conte des frères Grimm, il ne faut pas se mentir, le film a vieilli et conserve de nombreux défaut et reproche qu’on peut lui faire. A commencer par les personnages du prince et de la princesse qui reste quand même faible en eux-mêmes par rapport à ceux de maintenant, mais aussi par le fait que ce film opte pour une méthode semblable aux films de Spielberg privilégier l’émotion à la logique de l’histoire. Mais cela fait qu’on se retrouve avec un paquet d’incohérence et d’invraisemblance, mais aussi avec des questions sans réponses parfois abracadabrantesque comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumé, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref là c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 2 Je ne pourrais pas tous les citer, mais autant dire que le film accumule les soucis de cohérence à de très nombreuses reprises car le scénario n’est pas raconter comme un film mais comme un livre sur grand écran et du coup c’est d’une imperfection y a aussi ce problème temporel propre à beaucoup de Disney, comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumé, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref là c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 3 Cela dit, les principales qualités du film ont un avantage qui font que Blanche-Neige et les sept nains arrivent à plaire malgré tout ces soucis l’aspect conte de fée est assumé car elle ne cherche pas à nous faire réfléchir à toute ces questions mais à faire réagir nos émotions devant les événements et le déroulement de l’histoire. Au final comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumé, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref là c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 4 Le prince est le seul élément entièrement préjudiciable parmi les principaux protagonistes mais il n’en est pas moins que chacun sert l’histoire comme il faut. De plus, Blanche-Neige est un modèle intéressante comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumé, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref là c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 5 En tant que tel, ça reste un personnage très faible mais elle est un minimum utilisé ici pour transmettre au moins ceci. Donc, est-ce que c’est l’un des meilleurs classique d’animation Disney qui existe ? Non, il y a eu bien mieux par la suite, mais est-ce qu’il est devenu mauvais et a aussi mal vieilli qu’on peut bien le dire ? Non plus, il garde son charme et sa qualité en long et en large et personnellement je serais partant pour le revoir de nouveau. Il a ses défauts évident, ses problèmes mais il reste culte que ça soit pour les nains, la musique, les chansons ou l’ambiance qui fait tout le charme de ce film. Un excellent classique à voir. Une date dans l'histoire du cinèma, qui jouit encore aujourd'hui d'une incontestable poèsie, avec ses nombreux gags et son lot d'èmotion! Walt Disney avait pris de gros risques en se lançant dans l'aventure de "Blanche-Neige et les sept nains", dès 1933, un dessin animèe de long-mètrage, sonore en couleurs! A l'èpoque, le genre ètait liè à l'idèe d'une bande très courte alimentèe par quelques gags! Disney gagne finalement son pari, mais cette rèussite exemplaire et commerciale l'entraîne sur des voies nouvelles où il perdra son âme...Le budget total dèpassa le million et demi de dollars, remboursè au centuple par le succès mondial du film qui comporte plus de cent mille images, ayant nècessitè plus d'un million de croquis et esquisses! L'ètonnant est que de ce monstre industriel soit nèe un oeuvre pleine de fantaisie et de grâce! ça reste en tout cas l'un des plus beaux films d'animation de tous les temps, avec la douce Blanche Neige, sa sorcière effrayante, ses nains burlesques Prof, Atchoum, Dormeur, Grincheux, Joyeux, Timide, Simplet et ses mythiques chansons rythmèes des 7 nains “Heigh Ho” ou "Un jour, mon prince viendra"! Un monument du 7ème art... Soyons honnêtes on ne voudrait pas être trop sévère avec ce "monument" de l'Histoire du cinéma d'animation, premier bébé des studios Disney et ayant fait rêvé plusieurs générations d'enfants. Hélas, nous sommes mine de rien quelque peu obligés de nous rendre à l'évidence beaucoup de choses ne vont pas dans ce "Blanche-Neige et les sept nains." Chansons moyennement convaincantes, un Prince inexistant et risible, un humour parfois assez puéril.... Mais surtout, que c'est niais! Blanche-Neige est naise, les nains sont niais, les animaux de la forêt sont niais, bref, difficile de faire pire dans le genre! Heureusement néanmoins que certaines scènes fonctionnent il est vrai plutôt bien et que l'animation sait se faire parfois saisissante, car nul doute que sinon la pilute eût été bien difficile à avaler. En somme, voila donc un dessin animé légendaire non sans quelques vraies qualités, mais qui a tout simplement vieilli avec le temps. Dommage. Une date dans l'histoire du cinéma, qui jouit encore aujourd'hui d'une incontestable poésie, avec ses nombreux gags et son lot d’émotion ! Walt Disney avait pris de gros risques en se lançant dans l'aventure de "Blanche-Neige et les sept nains", dès 1933, un dessin animée de long-métrage, sonore en couleurs ! A l’époque, le genre était lié à l’idée d'une bande très courte alimentée par quelques gags ! Disney gagne finalement son pari, mais cette réussite exemplaire et commerciale l'entraîne sur des voies nouvelles où il perdra son âme... Le budget total dépassa le million et demi de dollars, remboursè au centuple par le succès mondial du film qui comporte plus de cent mille images, ayant nécessite plus d'un million de croquis et esquisses ! L’étonnant est que de ce monstre industriel soit née un œuvre pleine de fantaisie et de grâce ! ça reste en tout cas l'un des plus beaux films d'animation de tous les temps, avec la douce Blanche Neige, sa sorcière effrayante, ses nains burlesques Prof, Atchoum, Dormeur, Grincheux, Joyeux, Timide, Simplet et ses mythiques chansons rythmées des 7 nains “ Heigh Ho ” ou " Un jour, mon prince viendra ! " Un monument du 7ème art... Oui c'est vraie, Blanche-Neige et les Sept Nains, ça a un peu vieilli le film a quand même 76 ans, ce qui n'est pas rien. Cependant, c'est quand même Le premier long-métrage d'animation au monde à la fois sonore et en couleurs, ce qui veut dire que ce long-métrage en question fût un immense progrès technologiques ayant révolutionné le genre après, chaque films produits par Disney sauf l’exception de Frankenweenie qui a été réalisé en noir et blanc pour des raison de style furent réalisés en couleurs et avec du son. Leurs paroles sont simples et répétitives mais les chansons sont quand même cultes et très bien intégrées dans l'histoire. Concernant l'histoire justement, elle ravira toutes les tranches d'âge ; en général, quand on aime un film comme Blanche-Neige durant son enfance, on l'aime encore en devenant adulte. Même si Blanche-Naige est présentée comme une protagoniste un peu trop parfaite à mon goût ce qui était la mode chez Disney à l'époque ; d'ailleurs, ça a bien changé parce que ce personnage ainsi que Cendrillon et La Belle au Bois Dormant sont très différentes de Raiponce ou encore Tiana, c'est un protagoniste très charismatique ! Les nains aussi sont très attachants ! La Reine/ La Sorcière est quant à elle une antagoniste culte l'une des plus Grandes méchantes du genre selon moi ! Enfin, les doublage sont géniaux ! Blanche-Neige et les sept nains C’est incroyable, un des premiers dessins animée mais aussi le tout premier Disney et il avait déjà toute sa magie et son génie. Vraiment, ce conte revisité par Walt Disney est un vrai petit bijou et possède déjà touts les éléments qui font les lettres de noblesses de Disney. C'est-à-dire une animation qui pour l’époque, on en revint pas. Ce film a quand même 76 ans donc quand on voit cette beauté de l’animation très crayonné, ça fait très peinture en arrière plan enfin c’est juste sublime et ça a du faire sa révolution a l’époque. Sinon, il possède aussi les belles chansons qui rythment cette aventure. Et elles sont tous simplement mémorable on rentre du boulot » ou encore mon prince viendra »… Et on a le droit aussi a une histoire classique et certes peu original de nos jour car c’est un peu simplet mais c’est efficace car c’est la base de tout conte une méchante sorcier, une princesse, une histoire d’amour qui triomphe et des personnages attachants comme les 7 nains qui sont très amusants a suives. Donc voila, un classique intemporelle qui montre a quel point Disney avait du potentiel un immanquable. L’une des pièces maitresses prouvant le savoir-faire de Walt Disney. C’est assez dingue comment ce film n’a pas vieilli aujourd’hui, preuve s’il était nécessaire de l’incroyable performance technique que représente ce Blanche-neige ». Reste derrière l’exploit formel l’histoire de Blanche-neige, malheureusement pas de celles qui me parlent le plus. Dommage, car à cette époque là l’ami Walt n’était pas encore trop pollué par son esprit théières qui parlent et qui chantent ». Comme quoi les différentes inspirations d’un génie artistique n’ont pas toujours le timing qu’il faut… Depuis 1928, les succès de sa star planétaire Mickey Mouse et de sa série de courts métrages les Silly Symphonies ont permit à Walt Disney d'entreprendre le plus grand défi de sa carrière la création de son tout premier long métrage animé à la fois sonore et en couleur. Walt Disney va alors choisir d'adapter une histoire populaire célèbre, le conte des frères Jacob et Wilhelm Grimm datant de 1812, Blanche-Neige et les sept nains. Il était une fois... Blanche-Neige, une jeune et jolie princesse maltraitée par sa belle-mère, la Reine, jalouse de sa beauté. Égarée en forêt, elle se retrouve dans une chaumière habitée par sept nains Prof, Joyeux, Grincheux, Dormeur, Atchoum, Timide et Simplet. Pièce maîtresse de l'industrie cinématographique, ce premier long métrage d'animation de Walt Disney a su capter l'imagination et toucher les cœurs comme jamais aucun film ne l'avait fait. Des générations entières de spectateurs comme moi ont été enchantées par son incomparable beauté. Nous sommes immédiatement aspiré dans un univers magique et parfois effrayant. À l'époque, cependant, tout le monde à Hollywood pensait que le projet de tourner un long métrage d'animation était insensé. Qui accepterait de voir un dessin animé d'1h30 ? Walt n'avait d'autre ambition que de reculer les frontières du possible. En 1934 et pendant un an, Walt avec ses qualités de merveilleux conteur va s'inspirer très librement du conte de fée originel en développant, grâce à ses meilleurs scénaristes, une œuvre créative satisfaisante pour le scénario. Le film est truffé de gags, mais il est aussi plein d'émotion, de magie et met en avant une exaltante combinaison d'images magnifiques et de chansons fortes qui resteront gravées dans les mémoires comme "Siffler en travaillant", "Heigh-Ho", et "Un jour mon prince viendra". Walt va rassembler ses meilleurs artistes qui vont donner vie aux personnages animés 6 coréalisateurs et 24 chefs-assistant pour l'animation et qui avaient contribué au succès des courts métrages + les animateurs dessinateurs, traçage, gouache etc... notamment Européens comme Albert Hurter, Gustaf Tenggren et Ken Nielsen mais aussi Américains comme Joe Grant, Fred Moore, Norman Ferguson, Vladimir "Bill" Tytla et les jeunes membres des "Nine Old Men" qui deviendront au fil des années les meilleurs animateurs du monde Blanche-Neige animée par Marc Davis est la première des princesses de conte de fée, une héroïne à la fois réaliste et convaincante, les nains reflètent de façon caricaturale leurs propres personnalités dues à leurs noms mention spéciale à Simplet^^, la Reine-Sorcière animé par Joe Grant est terrifiante à souhait, le prince charmant même si il est trop peu présent à l'écran est aussi réussi. Le film comporte des scènes spectaculaires et effrayantes le passage dans la forêt fantasmagorique, la transformation de la Reine, la scène finale sur le pic rocheux... magnifiquement réalisées par David Hand, le superviseur metteur en scène et la musique merveilleusement orchestrée par Frank Churchill, Leigh Harline et Paul J. Smith. Au total, ce fut 3 ans de production durant lesquelles plus de 750 artistes et techniciens des studios Disney utilisèrent plus de 800 km de papier pour créer plus de 2 millions de croquis et de dessins. Le résultat final sortira à Hollywood le 21 Décembre 1937 pratiquement 75 ans jours pour jours et connaîtra rapidement un énorme succès a travers le monde et Walt recevra un Oscar d'honneur tout à fait original une statuette normale + sept miniatures. Blanche-Neige marquera une étape supplémentaire dans l'histoire de l'animation non seulement le film établit définitivement le studio Disney parmi les "majors" en devenant le plus grand studio d'animation du monde, mais il fit progresser les techniques du dessin animé, au point qu'il faudra attendre la naissance de l'image assistée par ordinateur pour constater de nouveaux progrès. La plus grande folie de Disney était devenue son plus grand triomphe et en élevant l'animation au rang de nouvelle forme d'art, Walt Disney avait changé à tout jamais l'histoire du cinéma d'animation. Triomphe artistique, Blanche-Neige et les sept nains est un film éternel, avec une musique et un humour inoubliable. Un trésor inestimable à transmettre de génération en génération. Le 1er Chef-d’œuvre de Walt Disney. Le premier long métrage d'animation de Walt Disney est un pur chef-d'oeuvre, l'histoire de Blanche-Neige ne s'oublie pas en étant probablement celle qui symbolise le plus les contes où une princesse est sauvée par un prince charmant. Blanche Neige fait partit des productions Disney bien calibrées, ayant un certain charme. Datant de 1938, cette animation a le mérite de posseder une image synthèse agréable à regarder. Quand on dit que le premier long métrage d'animation sorti des studios Disney resta inégalé, on ne peut le nier. Ce film est une petite merveille l'animation est sublime, les couleurs magnifiques, les chansons cultes, les gags nombreux, le film contient tous les ingrédients pour maintenir l'attention du spectateur humour, émotion, frisson... Un excellent moment de cinéma. Un chef-d'oeuvre qui après des décénnies n'a rien perdu de son impact. Drôle, effrayant, merveilleux … Blanche-Neige n'est pas qu'un excellent Disney, c'est l'un des meilleurs films d'animation jamais faits. Oui! On sait...patati patata, Blanche-neige est gourde, patati patata, et le reflet de son époque et blablaba!Bon, mais Est-ce si grave que ça au final? Non, je ne crois pas...Ce ne sont pas des choses que l'on dit quand est petits! Donc, il faut arrêter! Ce n'est qu'un détail qu'on remarque quand on est plus grand!Boucle d'or squatte bien la maison des trois ours, mange la soupe de l'ourson, et va dormir dans son lit. Est-ce que les enfants ont eu envie de faire de même?Le petit chaperon rouge ne capte pas qu'il s'agit du loup en regardant de sa " grand-mère". Est-ce que cela dérange tant les enfants? Pas plus que Blanche-neige, qui squatte la maison des nains, la lave, s'endort chez eux, et ne comprend pas que la sorcière est sa belle-mère, malgré les signes des animaux!Je veux dire que si on critique ce dessin animé, on peut critiquer bien d'autres histoires pour enfants! Mais ça n'a au final pas d'importance, puisqu'on n'en n'a pas vraiment conscience, quand on est petitsDonc stop!Il faut voir ce dessin animé comme une œuvre, qui, en général, est très appréciée chez les petites filles. Il peut même apprendre aux enfants à être propres, et à se méfier des inconnus!Les chansons sont très jolies, et les graphismes ont bien vieilli. Je l'ai toujours adoré! L'animation aujourd'hui encore tient parfaitement la route, toujours aussi fluide et naturelle. Mais alors le personnage de Blanche-Neige fait bien sourire tant il est dépassé. Un peu nunuche, elle parle aux animaux il y a vraiment que des filles pour parler à des animaux et pas des gros animaux non non, des petits tout mignons comme des lapins, des biches, des moineaux bleus, des écureuils. Et surtout Blanche-Neige est le fantasme de tous les hommes qui se respecte elle fait le ménage et la cuisine avec plaisir elle en a même fait une chanson siffler en travaillant. Elle squatte la maison des nains à cette condition d'ailleurs les temps ont changé n'est ce pas ?. Et comme toutes les potiches, elle n'a qu'un seul rêve rencontrer le prince charmant beau et fort. Belle vision de la femme, ça a bien changé que les nains remontent le niveau et offre plus de sympathie et d'humour, chacun ayant sa propre personnalité. Le plus interessant est grincheux même si mon préféré est sorcière/reine, belle mère de Blanche Neige offre quand à elle les moments effrayants et gothique avec une ambiance proche d'un film d'horreur et le prince lui est quasiment que reste il de ce bijou du cinéma qui lui a tant apporté ? Et bien si je ne l'avais pas vu des centaines de fois étant enfant, je dirais que ce serait un bel objet cinématographique. Ringard, d'un autre temps mais amusant avec ses moments cultes, comme les chansons "hey ho on rentre du boulot" , la scène de fête, et du bain. Et déjà à cette époque le savoir faire de Disney était montrer impérativement à nos petites têtes blondes, qu'ils sachent ou se situe vraiment la place de la femme à la maison. Premier long métrage animé Disney, et que dire sur ce chef d'œuvre ? Tout est très bien mené, couleurs, dialogues et surtout des chansons devenus cultes que tout le monde à fredonner au moins une fois dans sa vie. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
La musique et l'image, une histoire sans fin. Etude de Caroline PHILIPPE sur le lien entre image et musique. Etude de Caroline PHILIPPE sur le lien entre image et musique. Depuis ses débuts, le cinéma est associé à la musique. En effet, dès ses premiers pas, des fanfares et des hommes-orchestres jouent à l’extérieure des salles pour attirer les passants. Peu de temps après, lors des projections de films, et notamment lors des séances Lumières » organisées par les inventeurs du cinématographe, un musicien est présent dans la salle, tel que Emile MARAVAL au piano. C’est immédiatement un succès. Les directeurs de salles emploient des tapeurs », c’est-à-dire des pianistes, qui improvisent et changent de tempo suivant les thèmes burlesque, dramatique, historique ou documentaire. Mais par la suite, ils reçoivent des indications et disposent dun catalogue de situations » action, nuit et atmosphère sinistre, nuit et atmosphère menaçante, péripéties, folie, magie, chutes… Pour que les spectateurs comprennent les évènements, il faut que la musique parle » pour le personnage. Ainsi, le wurlitzer, orgue d’une incroyable complexité qui permet d’obtenir une multitude d’effets sonores, fait son apparition à la place du piano et y reste comme étant l’instrument spécifique au cinéma. Plus tard, le répertoire s’élargit des orchestres prennent place dans les salles. La musique d’accompagnement devient essentielle à l’image. Vers 1920, c’est le film qui devient l’accompagnateur de la musique, mais très vite, les extrêmes se neutralisent. En 1927, avec Le Chanteur de jazz », premier film parlant, l’idée image = musique est renforcée. Depuis cette époque, la grande majorité des films sont accompagnés de musique. Cependant, peut-on aller jusqu’à dire que cette dernière est indissociable de l’image ? L’objet de nos Travaux Personnels Encadrés sera de montrer en quoi la musique est indissociable de l’image ». Pour ce faire, nous avons décidé de traiter seulement la musique insérée sur l’image. Pour cette raison, nous n’aborderons pas les clips musicaux, qui obéissent plutôt à la règle de l’image insérée sur la musique, étant donné qu’un court métrage est réalisé pour les besoins de la musique déjà écrite. Nous analyserons dans un premier temps les différents rôles de la musique sur l’image, c’est-à-dire essentiellement commerciaux et sentimentaux. Puis nous verrons le choix qui s’offre à un réalisateur pour mettre en valeur l’image, à savoir l’utilisation d’une œuvre originale ou d’une œuvre pré-existante. I. Quelles sont les fonctions de la musique sur l’image ? A Dans le modèle publicitaire et commercial. 1. La musique dans la publicité valorise le produit La musique de publicité a un rôle essentiellement commercial. En effet, elle agit sur le téléspectateur en retenant son attention. Un individu est exposé à environ deux mille à trois mille messages par jour en moyenne, dont il n’en retient qu’une dizaine seulement. Si une musique de publicité a bien rempli son rôle, souvent grâce à une ritournelle marquante, alors le téléspectateur associera toujours cette musique à la marque du produit présenté, dont il se souviendra plus facilement. Voici quelques exemples de publicités où la musique utilisée valorise le produit Steiner Paris » où le solo du piano dégage un sentiment de chaos et de vide où seul le mobilier prédomine. Saupiquet » où la musique classique avec la présence des instruments à cordes dégage une idée d’aliment raffiné et d’une cuisine saine et équilibrée. Mégane » où le célèbre ténor italien Luciano PAVAROTTI interprète Sono lo spirito che nega, extrait de l’opéra Mefistofele de Boito ARRIGO, et fait ainsi transparaître toute la pureté, l’élégance et la majesté de la voiture par comparaison à sa puissante voix. et enfin région Midi-Pyrénées » où l’instrument traditionnel qu’est l’accordéon fait ressortir le fait que cette région française est chaleureuse et pleine de traditions. 2. L’enfant, une cible plus sensible à la musique ? a Dans le modèle publicitaire Chez les enfants, le phénomène est encore plus flagrant ils sont de plus en plus les cibles des publicités car, chez les moins de 10 ans principalement, ils n’ont pas encore d’opinion négative ni même d’avis critique à l’égard de celles-ci. De plus, les enfants ont la capacité de retenir plus facilement les slogans chantés et les musiques de publicité, à tel point que nous pouvons parfois être surpris par un enfant capable de répéter mot pour mot un message publicitaire. Nous pouvons également remarquer que la grande majorité des publicités destinées à un public très jeune est accompagnée d’une musique enfantine, minimaliste, ou de la marque ou le nom du produit chantée. Par exemple, quel enfant, à la vue du nom Action Man », n’entend pas immédiatement le slogan musical associé, c’est à dire Action Man, le plus grand de tous les héros » ? Cela nous conduit à nous poser la question suivante la musique peut-elle créer un conditionnement aux marques ? b dans le modèle commercial avec les films d’animation De même, la musique de chaque film d’animation des studios Walt Disney est restée dans la mémoire des enfants. Par exemple, au simple nom de Le livre de la Jungle », tous les enfants pensent tout de suite à Il en faut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux. Il faut se satisfaire du nécessaire, etc. » De plus, Aladdin » et Le Roi Lion » ont remporté deux oscars pour la meilleure chanson ainsi que la meilleure musique originale. Souvenons-nous respectivement de Ce rêve bleu, je n’y crois pas, c’est merveilleux et de C’est l’histoire de la vie, le cycle éternel… ». Pour finir, citons également l’incontournable Blanche Neige et les Sept Nains » avec le chant des nains de retour de la mine Eh ! Oh ! Eh ! Oh ! On rentre du boulot… » 3. L’exemple des nouveaux numéros des renseignements 118 … Pour démontrer que la musique peut amplifier l’effet commercial d’une marque, nous avons choisi pour exemple le numéro des renseignements, à savoir 12. Celui-ci ne fonctionnera plus à partir du 3 avril 2006 et sera remplacé par d’autres numéros composés de six chiffres et commençant tous par 118. Ils appartiennent à de nombreux opérateurs concurrents, comme France Telecom ou encore les Pages Jaunes. Depuis le mois de novembre 2005, nous avons pu remarquer sur nos écrans de télévision de nombreuses publicités faisant la promotion de ces numéros commençant par 118. Mais parmi ceux-ci, il y en a un qui tire son épingle du jeu. En effet, il à l’avantage d’être paru avant les autres et il retient l’attention de tous. Avant même l’officialisation de la privatisation des numéros des renseignements, un spot publicitaire paraissait deux hommes en jogging, un bandeau rouge dans les cheveux, un T-shirt blanc avec écrit 118 pour le premier, et 218 pour le deuxième » . Pour illustrer les images, une musique 118… 218, 118…218 », sur un air et un décor une salle de gymnastique qui nous rappellent à tous quelque chose. Après réflexion, on se rend compte que cette publicité est une parodie de l’émission de Gym Tonic » présentée par Véronique et Davina dans les années 1980, et que la chanson est en fait une reprise du tube Toutouyoutour », le générique de l’émission que l’on peut qualifier d’hymne. Cette publicité attire, elle amuse… Et étrangement, on a du mal à enlever l’air de notre tête 118…218, 118….218 ». Et le phénomène semble atteindre de nombreuses personnes, surtout chez la génération télé », bien que celle-ci n’ait pas connu la Gym Tonic ». En effet, force est de constater que l’on entend un peu partout des gens qui chantent cet air. Et pourtant, tout le monde ignore que 118 218 est un numéro de téléphone des renseignements ! Du moins jusqu’au 2 novembre 2005, date de l’ouverture des numéros 118 XYZ. Jusque-là, les opérateurs n’avaient pas droit de dévoiler le vrai but de leurs publicités. Pourtant, dans celle de 118 218, nous pouvons trouver un indice l’un des deux hommes dit Le 12, tu sors ! » en s’adressant à l’un des danseurs ayant des skis et un T-shirt où il est écrit 12 dessus. Avec cette campagne de publicité, Le Numéro l’opérateur du 118 218 a réussi son pari, c’est-à-dire qu’avant même sa mise en service, une grande majorité des gens a retenu le 118 218, qui reste gravé dans la mémoire commune plus ou moins inconsciemment. Pour renforcer cette affirmation, nous avons effectué un sondage sur 60 personnes, leur demandant quel était pour eux le numéro qui remplaçait le 12, numéro des renseignements. Ainsi, nous en sommes arrivées aux résultats suivants 7 % des personnes interrogées n’en avaient aucune idée, 13 % connaissent le 118 008 des Pages Jaunes, 22 % pensaient d’abord au 118 000 par Telegate France, et 58 % au 118 218. Parmi ces personnes sondées, il est plaisant de constater que certains répondent comme si c’était une évidence ben, c’est le 118 218 ! ». D’autres se mettent même à chanter ! De plus, dans la newsletter de Stratégies datant du 23 janvier 2006, nous apprenons que selon une étude TNS Sofres, sur 100 français, 58 utilisent encore le 12, alors qu'il disparaîtra prochainement et 45 connaissent le 118 218, loin devant le 118 000 de Telegate et le 118 008 de Pages Jaunes. Notons que ce sondage parle de notoriété et non d'utilisation. B. Dans le domaine cinématographique Dans le domaine cinématographique, la musique remplit deux rôles principaux elle met en valeur une scène et fait ressortir les sentiments exprimés au cours du film. 1. Apporter de l’intérêt à une scène Pendant la réalisation d’un film, si le metteur en scène décide que telle musique soit ajoutée à tel endroit, ce n’est pas par hasard. A chaque moment précis d’une séquence correspond une musique bien déterminée. Pour mettre en valeur une scène, il y a plusieurs procédés. Tout d’abord, une musique peut combler les silences, raccourcir ou rallonger une séquence. Prenons pour exemple le film Microcosmos, le peuple de l’herbe réalisé par Claude NURIDSANY et Marie PERENNOU. Sans musique, ce documentaire, aux scènes longues et silencieuses, basé sur la vie des insectes, serait l’ennui assuré des spectateurs. Alors, le compositeur, Bruno COULAIS compositeur de Les Choristes, a opté pour une musique relativement présente, au tempo rapide, qui berce le spectateur tout au long du film. Ainsi les longues scènes, sans action, deviennent plus intéressantes. Un autre film documentaire, Le Peuple migrateur réalisé par Jacques PERRIN et Jacques CLUZAUD, semblable à Microcosmos, permet d’illustrer cet exemple. Centré sur le voyage des oiseaux migrateurs, ce film comporte beaucoup de scènes d’envols qui peuvent paraître lassantes, mais avec la musique de Bruno COULAIS et du groupe corse A Fileta, le spectateur, absorbé par cette musique, ne s’ennuie pas Ensuite, en plus de combler les silences et de raccourcir les scènes », une musique peut également, faciliter l’immersion du spectateur dans le film. On retrouve souvent cette fonction dans les films quasiment muets, comme Les Triplettes de Belleville, de Sylvain CHOMET, par exemple. Ce film d’animation muet retrace l’histoire d’un petit garçon passionné par le cyclisme, dans les années 1930. Grâce à la musique jazzy et swing du compositeur Ben CHAREST, le spectateur se dandinant sur son fauteuil, se retrouve plongé dans l’univers des années 30. La scène où les Triplettes chantent et dansent sous le pont à Belleville souligne cette idée d’immersion Puis, la musique soutient l’action, c’est-à-dire qu’elle accompagne les mouvements des personnages, des objets. Une scène de Psychose, le film le plus célèbre d’Alfred HITCHCOCK, illustre parfaitement cette fonction. Lorsque Marion CRANE conduit sous la pluie, dans la nuit, il y a une synchronisation très précise de la musique de Bernard HERRMANN voir photo ci-dessous avec le mouvement des il n’y a rien de spectaculaire dans cette scène, comme l’a très bien fait remarquer le compositeur. En effet, sans cette musique qui engendre un sentiment de panique, Marion pourrait tout aussi bien se rendre au supermarché, au lieu de fuir un crime. C’est ainsi que cette dernière idée nous conduit à la deuxième partie. 2. Exalter les sentiments Selon François PEYRONY, un compositeur que nous avons contacté et qui a composé entre autres pour Visiblement je vous aime, Etat critique et Nuit d'ivresse, La musique est un art de l’émotion. Elle ne véhicule pas de mots mais des sentiments. » On peut donc dire qu’elle traduit les sentiments que l’image n’arrive pas à faire ressortir. Ainsi, comme le souligne Laurent JUILLET, Il existe autant de possibilités d’écritures que de compositeurs. » Certes, il faut connaître les règles de base de la musique pour composer, mais chacun se fait une vision différente de la scène pour laquelle il doit composer. La principale règle à savoir, c’est que la tonalité majeure sonne joyeuse et la tonalité mineure, sonne plus triste. Ensuite, le compositeur s’adapte aux différents sentiments se dégageant de la scène. La peur Pour une scène où règne une sensation de peur, le mode mineur convient parfaitement. Rythmiquement, le tempo est rapide et saccadé. Il peut aussi être lent mais, par contre, tendu. Les instruments à cordes sont privilégiés, utilisés soit en spiccato glissando procédé instrumental consistant à faire rebondir l’archet puis à descendre sur les cordes du plus aigu au plus grave ou en trémolo répétition très rapide d’un même son avec un instrument à cordes frottées. Aurélien MARINI souligne qu’une tenue de violons dans l’aigu ou un frottement de cymbales évoque une impression de tension. De plus, la contrebasse, et la clarinette accentuent la noirceur de la scène. Le but de ces procédés est de créer un ensemble dissonant, désagréable à l’oreille. Revenons sur Le Peuple migrateur, documentaire de Jacques PERRIN, pour analyser une musique qui fait transparaître un sentiment d’inquiétude, de menace. La séquence choisie représente des oiseaux qui volent en direction de New York, et plus ils s’approchent de la ville, plus le tempo de la musique s’accélère, devient saccadé, tout en s’accordant aux battements d’ailes. Une sensation de menace s’installe dans la salle de cinéma. La musique prend plus d’ampleur que pour les précédentes scènes d’envols. Elle nous traduit les évènements à venir, en l’occurrence elle nous annonce le danger que représente le pétrole pour les animaux marins voir extrait n°20. D’après Arnaud ROY, en mélangeant des modes mineur ou majeur et en utilisant des ambiguïtés harmoniques dans la composition d’une musique, on obtient des atmosphères floues, qui perturbent le spectateur en le mettant dans une situation de mal-être, de panique. Pour illustrer le sentiment de peur, nous avons choisi de visualiser deux autres scènes de Psychose, celle qui marqua tous les esprits grâce à sa musique, la scène du meurtre de Marion CRANE sous la douche et celle où on découvre le cadavre de Mme BATES dans la cave. HITCHCOCK ne voulait pas de musique pour la séquence de la douche, mais HERRMANN écrivit quand même une partition pour un ensemble à cordes. HITCHCOCK fut satisfait de la musique et l’intégra au film. La même musique discordante et suraiguë revient dans les deux scènes, ainsi qu’à plusieurs autres moments dans le film. Les violons et violoncelles survoltés crient une musique stridente, hachée, comme si on donnait des coups sur les cordes. Ce thème musical installe la panique et déchire toute harmonie. Il est impossible de rester détendu à l’écoute d’une telle musique. La répétition de cette dernière tout au long du film la rend entêtante, obsessionnelle. Pour se rendre réellement compte de l’impact de la musique sur l’image, il suffit de visualiser la scène de la douche, sans musique. Les sentiments ressentis sont totalement différents voire inexistants. De même, la musique du film Les Dents de la mer, de Steven SPIELBERG, informe le spectateur de la présence du requin. En effet, dès que le monstre est à proximité du lieu de l’action, on peut entendre les deux notes conjointes angoissantes accompagnant le mouvement accéléré de la caméra. Cela nous suggère une éventuelle attaque du requin. On pourrait croire que cette stratégie musicale est volontaire, alors qu’elle est due à un défaut technique lors du tournage, le requin mécanique était défaillant. Ainsi, cette méthode a porté ses fruits, étant donné que le premier volet a été une réussite alors que les suivants n’ont pas connu le même succès. En effet, le réalisateur a utilisé principalement un requin mécanique, ce qui a rendu les scènes de panique non réalistes, voire grotesques. La joie Comme écrit plus haut, si un compositeur doit adapter sa musique à une scène joyeuse, il utilisera une tonalité majeure. Le rythme peut varier de moyen à rapide, mais avec des intervalles distance qui sépare deux sons simples. Quant à la mélodie, selon Armen BEDROSSIAN, une orchestration plutôt légère, sautillante, exalte parfaitement la joie. En revanche, un tempo rapide et répétitif, sur une tonalité mineure ou modale, c’est-à-dire qui utilise d’autres modes que le majeur et mineur, convient pour représenter la tristesse. Jérôme ROSSI ajoute qu’ un simple piano peut également faire l’affaire ». Pour l’amour et le romantisme, Aurélien MARINI, nous dit qu’il utiliserait plutôt un morceau majeur avec des instruments redondants comme les violons, les bois et pourquoi pas une flûte traversière en contre-chant, c’est à dire en seconde voix, celle qui est moins importante que la première, mais qui marque toute l’harmonie. Ce même compositeur ajoute que si l’on veut donner un aspect plus mystique à la scène, il suffit d’utiliser un chœur classique ou des airs d’opéra. Un film récent de Christian CARION, illustre très bien ce que dit Aurélien MARINI. Joyeux Noël raconte la trêve des poilus français et des soldats allemands à la veille de Noël 1914. Au fil des images, la musique de Philippe ROMBI, triste comme joyeuse et basée sur des airs d’opéra, berce le spectateur. Du plus profond des tranchées, on entend la voix de Diane KRUGER et de Benno FÜRMANN, ce qui donne un aspect mystique, comme l’a souligné Aurélien MARINI. Après avoir vu ce film au cinéma avec le lycée, nous avons effectué un sondage au sein des deux classes de premières Economique et Sociale, concernant la musique dans ce film. Ainsi, beaucoup d’élèves ont trouvé ces airs d’opéra appropriés à la période de Noël, une personne parle même de magie » véhiculée par la musique. D’autres, ont plus retenu les mélodies tristes de la guerre, qui traduisent la peine et les angoisses des soldats face à la mort. Un professeur rajoute même, et à très juste titre, une citation de Jacques BREL A époque heureuse, chanson heureuse ; à époque troublée, chanson troublée ». Lorsque les obus éclatent, une musique triste qui exprime l’horreur de la guerre se fait entendre, alors qu’au contraire, pendant la trêve, de joyeux airs d’opéra dominent. Etant donné qu’à chaque époque correspond une musique, nous pouvons affirmer qu’à chaque sentiment correspond des instruments et des procédés musicaux différents. D’après Roberto TRICARI, voici quelques exemples d’utilisation d’instruments, selon les sentiments qu’ils peuvent dégager le saxophone soprano fait transparaître la comédie, la farce ; le saxophone alto, le romantisme ; le saxophone baryton, la colère. La clarinette, quant à elle, fait ressortir le mystère ; la flûte traversière, la douceur, la légèreté et la féerie ; la guitare, la tendresse et la mélodie. Puis pour finir, le banjo est souvent utilisé dans les westerns. II. Le choix d’une œuvre musicale pour mettre en valeur l’image A. Création d’une œuvre originale 1. Contraintes de composition Lors de la composition d’une musique de film, le compositeur possède peu de liberté et doit se soumettre à certaines règles. En effet, il doit respecter les volontés du réalisateur et les temps de musique qui lui sont impartis, analyser les scènes afin de trouver les thèmes principaux et enfin travailler dans la limite du budget disponible. Le réalisateur Les exigences du réalisateur sont diverses et plus ou moins importantes selon la relation entre le réalisateur et le compositeur. Effectivement, Amaury GROC compositeur de Goodbye Lenin nous l’a démontré avec les réalisateurs que je connais très bien, j’ai une très grande liberté de composition». Pour une musique sur commande, créée par le compositeur, le cahier des charges stipule le sujet, le support ainsi que la finalité de la musique attendue. Le réalisateur est donc le fil directeur de la composition ; il a le pouvoir d’accorder la musique ou non. Comme le souligne Mario LITWIN Pour un même film, il y a des dizaines de musiques possibles. C'est au compositeur de les proposer. Une seule est la bonne. C'est au réalisateur de le découvrir ». C’est à lui que s’adresse le compositeur en cas de problème afin d’avoir un éclaircissement, par exemple par rapport au scénario ou encore à la durée de la scène. Le minutage La seconde contrainte à laquelle le compositeur se trouve confronté est le respect du temps de la scène sur laquelle il doit composer. Il doit donc minuter les scènes sur lesquelles il composera de la musique, en tenant compte des temps impartis. D’autant plus que le temps de musique dans la scène reste tout de même assez bref. Le compositeur doit donc arriver à faire passer un maximum d’émotions en un minimum de temps. Il existe un time code » qui permet de fixer et de caler parfaitement la musique sur l’image en fonction des différents points de synchronisation de la scène, appelés hitpoints » Prenons l’exemple d’Aurélien MARINI, avec une scène de combat se découpant en quatre parties 1 Début du combat les deux combattants se regardent face à face et se parlent violemment. 2 Ils commencent à se battre 3 ils s’arrêtent en se bloquant contre un mur 4 Fin du combat l’un des deux assène un coup fatal à son adversaire Dans ce cas là, la première partie 1 de la musique est tendue mais ne doit pas donner d’aspect rythmique trop fort afin de permettre à la seconde partie 2 d’accentuer l’action car à partir du moment où ils se battent il faut rester dans le rythme des mouvements. Ensuite l’un des deux se retrouve bloqué contre le mur 3, la rythmique se calme car il n’y a pas d’action à proprement parler mais la tension doit toujours se sentir pour augmenter crescendo et finir ainsi sur le coup fatal qui mettra fin à la scène 4. Si la musique ne suit pas exactement le minutage de la scène, alors tout l’effet de la bagarre est perdu. Ambiance générale du film Trouver le bon thème musical par rapport à une image est également une contrainte essentielle afin que l’émotion dégagée par la musique soit à l’unisson avec celle dégagée par l’image. Voyons l’exemple du court métrage de Flora SOUBEYRAS, une élève de Terminale au lycée, intitulé Mauthausen. Flora l’a réalisé lors d’une visite du camp de concentration. Elle nous a expliqué sa démarche, à savoir de mettre une musique neutre sur ces images. En effet, elle a préféré une musique instrumentale » pour souligner l’idée de chaos et de vide qui se dégage du camp, à une musique avec des paroles, car aucun mot n’est à la hauteur de qualifier cette période de l’Histoire. Cependant, il n’est pas rare qu’un compositeur présente une composition surprenante et atypique au réalisateur. Dans ce cas, il est possible que ce soit un échec total à cause d’une différence trop importante d’ambiance ou de thème, comme il est également possible que le succès soit immédiat du fait d’une grande originalité. En effet, le compositeur peut créer ou proposer une musique qui n’est pas forcément, à première vue, en relation avec l’image. Prenons l’exemple du réalisateur Stanley KUBRICK, qui a osé mettre de la musique du XVIIIe siècle avec les célèbres compositeurs classiques Beethoven, Purcell et Rossini, sur les scènes extrêmement violentes de Orange mécanique. Le bon choix de la musique est fondamental car celle-ci peut faire le succès comme le malheur d’un film comme l’a souligné Amaury GROC la vraie bonne musique est celle qui colle au script ». Quand la musique d’un film reste gravée dans votre tête après une seule projection, c’est que le compositeur a réussi son pari en apportant un style et une atmosphère musicale particulière. Le compositeur doit trouver le thème général dégagé par l’image. Ainsi il pourra reprendre la même musique lorsque ce thème reviendra de manière récurrente tout au long du film. En analysant quelque peu la musique composée par François PEYRONY pour le film sorti à la fin de l’année 2005 Il ne faut jurer de rien, nous pouvons remarquer que l’un des thèmes récurrents du film est l'argent, que sort continuellement Van Buck de ses poches, personnage interprété par Gérard JUGNOT. Le second thème principal du film est le romantisme de Valentin, personnage joué par Jean DUJARDIN, retranscrit par de la musique de chambre pour commencer la scène, puis par un orchestre. Le compositeur dit de son générique Une rhapsodie au rythme de Sicilienne, un morceau "majestueux et automnal" indication que j'ai portée sur la partition, pour doucement nous faire atterrir dans notre époque après 1h40 d'enchantement... ». Il faut aussi arriver à trouver le bon dosage de musique car un film qui en comporterait trop pourrait gêner le spectateur. De même qu’un film en possédant peu pourrait rapidement ennuyer et lasser le spectateur car le film deviendrait moins intéressant. Le compositeur doit donc trouver le bon dosage de musique, un juste milieu. Comme l’a souligné Jean-Claude PETIT, compositeur de la musique du film Le hussard sur le toit de Jean-Paul RAPPENEAU écrire une musique de film c’est développer une idée » ou encore la musique de film permet de retranscrire l’intérieur des personnages ». v Maurice JAUBERT a dit du cinéma muet l’écriture musicale ou la science symphonique devront céder le pas à l’efficacité, la quantité de notes sera dictée par la dialectique visuelle du film, les interventions sonores obéiront à des mobiles précis ». C’est à dire que la musique doit aller à l’essentiel et correspondre à l’image, la partition doit suivre le mouvement de la caméra et le rythme des scènes, et la musique doit être utilisée dans un but précis et non au hasard, pour combler ». Il y a une réelle démarche intellectuelle dans la composition d’une musique de film. Le budget Selon le budget, la musique sera plus ou moins prédominante dans un film, une publicité ou un reportage. De même, plus le budget est important, plus la musique est exceptionnelle et impressionnante, à l’image des grosses productions hollywoodiennes telles que Harry Potter, le Seigneur des anneaux ou autre Star Wars. Un film à petit budget ne possédera pas une musique très présente dans le film de par le manque de moyens, comme le montrent notamment les petites productions asiatiques, tel que le film Bashing du réalisateur Masahiro KOBAYASHI que nous avons pu visionner cette année avec l’option Européenne du lycée. Si le producteur est conscient de l’intérêt d’une musique originale, il fait des efforts » pour que le compositeur obtienne un certain budget pour faire la musique. 2. Etapes de mise en place d’une musique sur une image Choix d’un compositeur En premier lieu, le réalisateur exprime le souhait de travailler avec un compositeur. Puis le producteur négocie un contrat avec celui-ci ainsi que la date butoir du projet. De plus en plus, les réalisateurs font appel à des compositeurs alors qu’ils n’ont pas encore commencé le tournage, parfois trois ou quatre mois auparavant, à l’instar de Gabriel YARED compositeur de Le patient anglais, Le talentueux Mister Ripley, Cold Mountain, Tati Danielle, Shall we dance, Un automne à New York, Une bouteille à la mer… qui a été contacté l’an dernier en février pour un film débutant son tournage en juin. Cette pratique est notamment prédominante en Angleterre, et de loin celle que préfèrent les compositeurs, qui ne sont pas pressés par le temps, et les acteurs, qui sont guidés et influencés dans leur jeu. Cependant, il est fréquent qu’un réalisateur face appel à un compositeur après avoir tourné son film. Dans ce cas, il y a eu des musiques temporaires issues de films pré-existants sur le tournage. Ces musiques temporaires sont appelées temp tracks » et sont utilisées pour que les comédiens jouent en musique. L’équipe du film est alors habituée à une musique différente de la musique finale, et pour cette raison cette méthode de travail n’est pas très bonne. Lecture du scénario Dans un premier temps, le compositeur lit le scénario. Puis il détermine avec le réalisateur les passages du film nécessitant de la musique. En partant du principe que le tournage n’a pas encore été effectué, l’artiste va donc commencer à composer en quelque sorte dans le vide » à l’instar de Gabriel YARED qui a composé la majorité de ses musiques du film sans avoir vu une seule image ! Composition et adaptation à l’image La première phase de composition est de rechercher les principaux thèmes du film qui se dégagent du scénario, comme l’amour ou la peur. Le compositeur écrit plusieurs mélodies correspondant à chaque séquence sur lesquelles il doit composer. Sa composition va au même rythme que le tournage et évolue ainsi avec lui. Une fois le tournage du film terminé, le travail est plus précis. En effet, le compositeur chronomètre de manière très rigoureuse les passages du film qu’il doit embellir », ou bien travaille en synchronisation avec l’image, c’est-à-dire qu’il modifie sa musique en visualisant la scène. Il peut orchestrer sa mélodie de différentes manières, l’harmoniser, l’étirer ou au contraire la compresser, ou bien encore la décliner en variations. Le compositeur doit également trouver le tempo idéal en fonction du rythme du montage. Par exemple, une séquence de film fait 24 images par seconde, donc sachant que le rythme des secondes correspond au tempo de 60 à la noire, on peut utiliser un tempo de 60 ou un multiple à la noire. C’est différent pour une séquence de reportage ou de documentaire, réalisé avec une vidéo, car il y a 25 images par seconde. Puis, le compositeur analyse les scènes en étudiant les mouvements de la caméra, le jeu des acteurs, les lumières… En effet, tout peut être source d’inspiration ! Une fois le travail terminé, le compositeur fait un montage stéréo de l’ensemble des pistes qu’il a créées, et les enregistre à partir du point 0, c’est-à-dire à partir du tout début du film, afin que le monteur n’ait qu’à superposer le son et l’image. Validation des musiques composées Le réalisateur, le producteur ainsi que le compositeur se rencontrent une nouvelle fois pour écouter les créations de ce dernier. Si le travail effectué plait au réalisateur et au producteur, ceux-ci valident les œuvres. En effet, il n’y a pas que le réalisateur qui donne son avis sur la musique composée; le producteur a également le pouvoir de faire changer une musique, mais en général, il respecte la volonté du réalisateur. Enregistrement des œuvres Si le film possède un budget suffisant, les œuvres sont enregistrées en studio avec des musiciens professionnels. Lorsqu’il s’agit d’une petite formation instrumentale, les musiciens n’ont pas la possibilité de visualiser les images pendant leur interprétation. Par contre, cela est possible lorsqu’il s’agit par exemple d’un orchestre symphonique. Si, cette fois, le film dispose de peu de moyens financiers, les œuvres sont enregistrées avec les ressources que possède l’équipe du film, c’est-à-dire des logiciels et un synthétiseur. En effet, celui-ci est capable de reproduire une multitude d’instruments mais ce n’est pas aussi intéressant que de travailler avec des musiciens professionnels, et il est préférable d’avoir un musicien médiocre plutôt que de ne pas avoir l’âme d’un instrument réel », comme nous l’explique Mixage et montage audio-vidéo La dernière étape est effectuée par les techniciens, c’est-à-dire le mixeur et le monteur. Le mixeur essaie de bien mélanger les différentes pistes sonores, à savoir la piste musicale, la piste bruitage et la piste des voix des acteurs. Cette étape est appelé mixage. Souvent, les détails de la musique ne sont plus très flagrants on apprend alors à se concentrer sur l’essentiel. Le dernier travail revient au monteur qui assemble les plans vidéo et les bandes sonores afin de finaliser le film. B. Utilisation d’œuvres musicales existantes Déclaration Universelle des Droits de l’Homme 1948, Article 27 2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur ». Code de la propriété intellectuelle, Article L. 111-1 L’auteur d’une œuvre de l’esprit jouit sur cette œuvre, du seul fait de sa création, d’un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous. » Article L’auteur jouit, sa vie durant, du droit exclusif d’exploiter son œuvre sous quelque forme que ce soit et d’en tirer un profit pécuniaire. » 1. La SACEM, une société d’auteur Le droit d'auteur est la somme de 2 droits, à savoir le droit patrimonial et le droit moral. Comment un auteur pourrait-il savoir que, dans un autre pays que le sien, quelqu’un utilise l’une de ses musiques pour promouvoir un produit ? Il n’a aucun moyen de le savoir. C'est l’une des raisons pour lesquelles les auteurs sont réunis en sociétés. Afin de disposer d’une preuve attestant de l’existence d’une œuvre à une date déterminée, l’auteur la dépose dans une société d’auteur. Pour ce faire, il remet à celle-ci la partition de plus en plus facultative et/ou le CD comportant l’œuvre composée ainsi que les formulaires joints en Annexes ils ne valent que pour les musiques de film. Grâce à ces papiers, la société peut calculer les droits qu'elle devra payer à l’auteur lors de la diffusion de son œuvre, en se basant principalement sur la durée des musiques utilisées. En France, il existe une société d'auteurs civile, à savoir la Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique, plus connue sous l’acronyme SACEM. Celle-ci a été créée en 1851 et défend les droits des auteurs, des compositeurs et des éditeurs de chansons ainsi que de musiques liées à l’image, protège leurs œuvres et préserve ainsi la liberté de créer. Toutes les œuvres qui y sont déposées forme un répertoire immense et sont protégées tout au long de la vie de leur créateur et soixante-dix ans après sa mort. La SACEM est à la France ce que la SABAM est à la Belgique, la GEMA à l’Allemagne, la PRS à l’Angleterre… Chaque pays a donc sa société d’auteur, exceptés les pays en développement comme en Europe de l’est ou dans le Caucase avec l’Arménie par exemple. En effet, ces pays n’ont pas suffisamment de moyens pour créer une société d’auteur. 2. L’UCMF, un organisme national En France, il existe un organisme qui protège et défend les droits des compositeurs de musiques de films, mais qui fait aussi la promotion de ce métier l’UCMF. Cela signifie Union des Compositeurs de Musiques de Films. Cet organisme français a été créé en septembre 2002 et compte une centaine de membres. Parmi eux, nous pouvons trouver des compositeurs que nous avons déjà mentionnés dans ces TPE, à savoir Bruno COULAIS, Mario LITWIN, Jean-Claude PETIT, Roberto TRICARRI et Gabriel YARED. Les missions effectuées par l’UCMF sont diverses. En effet, elle organise aussi bien des conférences ou des master class afin de promouvoir cette discipline qu’est la composition d’une musique de film, que des rencontres avec des grands compositeurs de musique de film tels que Antoine DUHAMEL, Vladimir COSMA et Michel LEGRAND. De plus, elle tente d’insérer les catégories de meilleur compositeur de musiques de film » et meilleure composition de musique de film » aux Victoires de la Musique, au Festival de Cannes…et d’obtenir des subventions de diverses sociétés d’auteur comme la SACEM. 3. Autorisation d’utilisation d’une œuvre pré-existante En général, le compositeur requis par le réalisateur utilise sa propre musique qu'il compose pour l'occasion ou possède en stock ». Cela dit, il n’est pas rare que le réalisateur ou la production souhaitent utiliser une musique déjà existante, notamment dans le domaine publicitaire afin de valoriser un produit ou de lancer un artiste. Pour ce faire, la production doit effectuer les démarches essentielles pour être en règle avec la législation. Si le compositeur attitré » du film orchestre différemment la musique pré-existante, il devient arrangeur. S’il ne fait que la plaquer sur l’image, il devient monteur-son, sound-designer ou encore conseiller musical. Utiliser une musique pré-existante, par exemple la chanson Ma vérité de Johnny HALLIDAY, nécessite plusieurs demandes d'autorisations à l’auteur David SALSEDO, à l'éditeur Warner Chapell Music France car c’est l’exploitant de l'œuvre, mais aussi à la maison de disque Universal Music car c’est le "fabriquant" du support de la musique enregistrée. Nous avons pris l’exemple de Johnny HALLIDAY car il a tourné plusieurs publicités et utilisé sa musique pour Optic 2000 » et le Crédit Agricole ». En effet, le producteur du film doit tout d’abord se renseigner pour connaître la maison de disque qui a produit le support de la musique. Dans le cas où il ne sait pas à quelle maison de disque s'adresser, il se renseigne auprès de la société d'auteur. Ensuite, il négocie directement avec la maison de disque de l'auteur de cette musique, qui n'a aucun intérêt à refuser l'utilisation de la musique, sauf en cas de nuisance à l'auteur nuisances morales ou dévalorisation. S’il y a accord, le producteur du film paye des droits à la maison de disque qui paye l'auteur de la musique. La production du film est alors tenue d'informer l'auteur car celui-ci a entièrement le droit moral de refuser l’utilisation de sa composition. Il arrive fréquemment que la production refuse de payer à cause de droits d’auteur trop importants. Elle demande alors au compositeur attitré du film de créer l’intégralité des musiques du film en se rapprochant au plus près de l’écriture de l’œuvre qu’elle voulait utiliser. Cette composition s’appelle un pastiche, c’est à dire une imitation des procédés caractéristiques de l’œuvre copiée ». Comme nous pouvons le lire dans l’interview d’Antoine DUHAMEL, réalisée par Le Monde voir Annexes, le grand compositeur français a effectué plusieurs pastiches un pastiche de sa propre musique dans Pierrot le fou de Jean-Luc GODARD pour La mort en direct de Bertrand TAVERNIER, un pastiche du Boléro de RAVEL pour Belle époque de Fernando TRUEBA et un pastiche du compositeur Jean SIBELIUS pour Métropolis de Pierre-André BOUTANG. Si cette fois, la production refuse de payer mais utilise tout de même la musique après l’avoir obtenue illégalement par le piratage, le téléchargement, la copie..., alors elle s’expose à des poursuites judiciaires. Ce cas est assez courant, notamment d’un pays à un autre. Par exemple, la musique d’un auteur français peut être utilisée par un arrangeur ou un monteur-son en Argentine, sans autorisation. L’auteur français n’a alors aucun moyen de le savoir, sauf si la société à laquelle il est affilié le découvre. En cas de diffusion non plus dans un film mais sur une chaîne de télévision, l'auteur est cette fois-ci payé par le diffuseur, tel que TF1. En conclusion, dans tous les cas cités précédemment, la SACEM ne paye l'auteur que si elle a reçu l'argent du diffuseur. Elle ne fonctionne pas comme une assurance, en cas de vol de musique. Il faut la voir comme un organisme qui collecte pour les auteurs et redistribue leurs œuvres. CONCLUSION A travers la première partie de ces Travaux Personnels Encadrés, nous avons pu voir que l’image est très souvent accompagnée de musique pour diverses raisons, et ainsi, nous pouvons dire que la musique est indissociable de l’image. En effet, dans la publicité, la musique permet d’attirer l’attention du spectateur et de promouvoir un produit afin de le pousser à l’achat. Retenons également que les publicités ou les films d’animation destinés à un jeune public possèdent des musiques minimalistes et guillerettes afin que l’enfant les garde facilement en mémoire. Dans les films, la musique permet d’apporter de l’intérêt à une scène en la rendant plus attrayante ainsi que d’exalter les sentiments afin d’émouvoir le spectateur. Ensuite, grâce à la seconde partie, nous avons pu remarquer que, de la naissance d’une mélodie à sa mise en place sur une image, la musique est une nouvelle fois indissociable de l’image. En effet, tout au long de son travail, le compositeur dispose de l’image, qu’il peut visionner à tout moment. Cependant, ce travail de composition ne se réalise pas sans difficulté. Il possède peu de liberté et doit se soumettre à des contraintes, comme le minutage ou encore le réalisateur, l’ambiance générale ainsi que le budget du film. Toutes les œuvres crées sont déposées dans une société d’auteur, la SACEM pour la France, afin que les compositeurs reçoivent leurs droits d’auteur. Afin de défendre ces droits, souvent bafoués, les compositeurs de musiques de film ont créé leur union, l’UCMF. Pour finir, il n’est pas rare que pour valoriser un produit, comme c’est le cas dans les publicités et les émissions de télévision, le réalisateur veuille utiliser une musique pré-existante, ce qui nécessite une nouvelle fois d’importants et complexes flux d’argent. BIBLIOGRAPHIE Sur un support papier Livres PASCAL Michel. Le cinéma. Editions Le Cavalier bleu. 2003. p13 DUCA Lo. Histoire du cinéma. 1963. p92 DUCA Lo. Techniques du cinéma. 1903. AUZEL Dominique. Le cinéma. Editions Milan. 1995. p54 BESSIERE Irène. Le Cinéma, idéologies et sociétés. Editions Larousse. p54 BATICLE Yvelines. Clés et codes du cinéma. 1973. p205 DE CANDE Rolland. La musique. Editions Seuil. 1969. p253, 259 PASSEK Jean-Loup. Le Dictionnaire du cinéma. 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Nous adressons également nos remerciements à Mademoiselle Marie-Pierre ESMAN, professeur de musique du lycée, pour nous avoir confier ses deux ouvrages sur la musique au cinéma », ainsi qu’à l’employée de la médiathèque de St Paul Trois Châteaux pour nous avoir confier le magazine Cinéfonia. Puis, nous voudrions remercier Mademoiselle Flora SOUBEYRAS, élève du club audiovisuel ainsi que du club histoire du lycée, pour nous avoir amicalement prêté son court métrage sur le camp de Mauthausen. Ensuite, nous remercions les compositeurs audiovisuels suivants Messieurs Serge ANDRE, Ambroise CHARRON, Claude CLIN, Bernhard ELSNER, Pascal GAILLARD, Amaury GROC, Mario LITWIN, Laurent JUILLET, Aurélien MARINI, Gérald ROBERT, Jérôme ROSSI, Arnaud ROY, Pascal SICARD ainsi que Madame Agnès VINCENT pour avoir gentiment répondu à nos questions et pour nous avoir consacré de leur temps. Pour finir, nous souhaiterions adresser des remerciements particuliers à Monsieur Armen BEDROSSIAN pour s’être investi dans notre projet et pour nous avoir consacré beaucoup de son temps, en nous procurant des documents de la SACEM, l’une de ses musiques pour le film Arkadia et des informations essentiels à l’aboutissement de notre dossier, ainsi que Messieurs François PEYRONY et Gabriel YARED pour nous avoir fait partager leur grande expérience dans le domaine audiovisuel, et ce, très chaleureusement et simplement.
DATE DE PARUTION 1937 ¨DUREE 80 minutes MUSIQUE RESUME La princesse Blanche neige est la plus belle femme du monde et sa belle mère la reine est follement jalouse de sa beauté et décide alors de la tuer. Elle ordonne à un garde du château d’en mener la jeune princesse dans la foret et de la tuée pendant qu’elle a le dos tournée. Le garde étant incapable de poignarder la jeune femme lui conseille de se réfugier dans les bois. C’est a se moment la que Blanche neige trouve la maison des nains et que son aventure commence. PERSONNAGES Blanche neige Jeune princesse, belle. Elle a perdu sa mère très tot. Au décès de son père, sa belle mère l'exploite. La reine Seconde épouse du Roi, le père de Blanche-Neige, cruelle et égoïste Le prince s'est le prince qui viendra reveiller la belle blanche neige Prof C'est le chef des nains. C'est lui qui prend les décisions pour le groupe mais son esprit va souvent plus vite que sa parole et le fait bafouiller. Simplet Il est le plus jeune des nains mais il n'est pas aussi idiot que semble l'indiquer son surnom la scène des baisers. Par contre, il ne parle pas parce que, comme l'explique Joyeux "Il n'a jamais essayé !" Timide Grand sentimental, il est le premier à constater que ce n'est pas un monstre couché dans leurs lits mais une jeune fille Dormeur S'il dort dès qu'il peut, cela ne gène personne et ne lui ôte pas sa perspicacité Atchoum Il éternue souvent, mais surtout dans les plus mauvais moments. Joyeux Toujours de bonne humeur, il ne voit que le bon côté des choses. Grincheux Il est contre tout, par principe, mais derrière son aspect bourru il cache un coeur d'or. LES CHANONS ET LES PAROLES Hey ho On pioche tic tac, tic tac, tic tac, Dans la mine, le jour entier. Piocher tic tac, tic tac, tic tac, Notre jeu préféré. Pas bien malin d'être riche enfin Si l'on pioche tic tac, Dans la terre ou dans la roche, Dans la mine, dans la mine. Dans la mine, dans la mine. Où un monde de diamant brille! On pioche tic tac, tic tac, tic tac, Du matin jusqu'au soir. Piocher tic tac, tic tac, tic tac, Tout ce que l'on peut voir. On pioche les diamants par morceaux, Des sacs de rubis par quintaux! Pour nous, sans valeur sont ces trésors On pioche, tic tac, tic tac! Heigh-Ho ! Heigh-Ho ! Heigh-Ho ! Heigh-Ho, Heigh-Ho, On rentre du boulot ! Heigh-Ho, Heigh-Ho, Heigh-Ho, Heigh-Ho, On rentre du boulot ! Je souhaite [BLANCHE-NEIGE] Puis-je vous dire un secret ? Jurez d'être discrets ! Un pouvoir magique est dans ce puits. Faire un voeu désire-t-on, Au puits il faut lui dire, Si l'écho sans tarder répond, On a ce qu'on désire... Je souhaite, bis par l'écho Voir celui que j'aime. Et qu'il vienne, bis par l'écho Bientôt. bis par l'écho Je l'attends, bis par l'écho Je rêve aux doux mots, Aux mots tendres, bis par l'écho Qu'il dira. bis par l'écho [Vocalises] Je souhaite, bis par l'écho Voir celui que j'aime, Qu'il m'avoue, bis par l'écho Bientôt. [LE PRINCE] Bientôt ! On se lave [PROF] Allons au bassin, Nous laver les mains. Relevons nos manches, Mettons-nous en place, Vers l'eau nos corps se penchent, Lavons-nous la face en faisant BRRR, BRRR, BRRR ! Usons tout le savon, Sans économies. Sur nos joues frottons, Il faut que tout brille ! Dans nos mains d'eau remplies, Nous grognons, nous soufflons, en faisant BRRR, BRRR, BRRR ! Plongeons-nous dans le bain, Raclons, récurons, Éclaboussons tout, Autour du bassin. Nous serons mouillés, Peut-être gelés ! C'est il faut bien le dire, Pas pour notre plaisir, Que nous barbotons, Notre peau se désagrège, Si nous souffrons, tant pis, Car c'est pour Blanche-Neige ! [GRINCHEUX] Bande de vieilles barbes à poux, Vous m'écoeurez avec vos BRR, BRR, BRR ! [Intermède musical] [PROF] Frottons bien fort, Et vous verrez, Qu'il sera mignon, Comme un mouton ! [LES NAINS] Cà, çà rafraîchit l'âme, Mais réchauffe son coeur de fer ! Sifflez en travaillant Sifflez en travaillant, Et le balai paraît léger, si vous pouvez siffler ! Frottez en fredonnant, Pour prendre un rythme quand la musique vous aide à travailler. En nettoyant la chambre, Pensez que le balai Est votre bel et tendre Soudain vos pieds se mettront à danser Oh non, non, non, non ! Mettez-moi çà dans l'évier. Quand l'âme est folle, Le temps s'envole, Sifflez en travaillant ! Non, non, non ! Pas sous le tapis ! [Intermède musical] Sifflez en travaillant ! Un chant, je n'ai qu'un seul chant Ô toi mon rêve, écoute ma chanson ! Un chant, je n'ai qu'un seul chant, Pour toi, Ô mon amour ! Un chant qui remplit mon coeur, D'espoir, de bonheur, d'adoration ! Ce chant, dit que mon âme, Est à toi pour toujours. Pour toi, je le proclame, Je n'ai qu'un chant d'amour ! Un jour mon prince viendra Il est si merveilleux, Comment vous décrire ? Un jour mon prince viendra, Un jour on s'aimera. Dans son château, heureux, S'en allant, Où vit le bonheur qui nous attend. Quand le printemps, un jour, Ranimera l'amour, Les oiseaux chanteront, Les cloches sonneront, L'union de nos coeurs, Un jour ! LA JAQUETTE
chanson des 7 nains on rentre du boulot paroles